Catherine RÉCHARD
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Avec des tours de refroidissement qui mesurent souvent plus de 150 mètres de hauteur, les centrales nucléaires se signalent à des kilomètres à la ronde. Nouvelle donne dans le paysage depuis une trentaine d’années, elles sont l’empreinte que notre société toujours plus avide d’énergie imprime à une région. Ce travail souhaite rendre compte de cette modification irréversible du paysage et de la transformation du quotidien des riverains qui en sont les observateurs privilégiés.