Elisabeth RULL
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Début 2004, la plupart des chercheurs avaient quitté leurs labos pour parler publiquement de leurs conditions de travail et de leurs attentes. Pour les plus anciens y compris, c’était souvent la première fois qu’ils descendaient dans la rue. Aujourd’hui, la recherche a repris, mais les moyens se font toujours attendre. A l’Ecole Normale Supérieure de Lyon, l’équipe d’endocrinologie moléculaire ne compte que six statutaires sur une vingtaine de salariés: la rotation est fréquente et la précarité est une dominante. (texte Sara Millot) C’est à travers leur quotidien que ce reportage donne la parole aux chercheurs de cette equipe.