Gilles MERCIER
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Janvier / Juin 2019
J’ai récemment ouvert le manuscrit « Maxime » que mon père, m’a remis au crépuscule de sa vie en novembre 2012. J’ai découvert l’incroyable itinéraire du Capitaine Pierre Roger MERCIER (1), mon grand-père officier et résistant, assassiné le 02 septembre 1944 au château d’Hartheim (Autriche). J’ai décidé de faire mien le travail de résilience de mon père afin de rendre hommage à l’engagement des oubliés de la mémoire par une approche artistique pluridisciplinaire. Le premier opus « De meilleurs lendemains » que j’ai réalisé à Compiègne en 2019 est relatif au camp de CompiègneRoyallieu au sein duquel mon grand-père fut prisonnier du 21 mars au 06 avril 1944 , avant son départ en déportation pourMauthausen.
Gilles Mercier