Marc-André PAUZÉ
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Comme beaucoup de communautés autochtones du Canada, le village algonquin de Winneway est aux prises avec de sérieux problèmes sociaux.
À l’origine de plusieurs comportements autodestructeurs, très peu de victimes de violence sexuelle parlent des agressions auxquelles elles ont été soumise, même s’il y a un taux avoisinant les 26%, selon Statistiques Canada. Mais selon le Groupe de recherche et d’interventions psychosociales en milieu autochtones (GRIPMA), entre 50 et 80% serait plus près de la réalité.
Malgré tout, quelques femmes se mettent à parler, dans leur processus de guérison, pour briser le cycle et protéger les jeunes générations.
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628 Km north-west of Montreal in Canada, lies an algonquin village of 250 inhabitants, Winneway. The Anishnabe as they call them self are native community battling against serious social problems. The foundation of many selfdestructive habits, very few victims of sexual violence talks even when there is at least 26% case of sexual abuse in native communities, according to Statistics Canada. But the Aboriginal Psychosocial Interventions Reserch Group says a rate from 50 to 80% is more realistic. But a few women are beginning to talk, in their healing process, but also to break the cycle and protect younger generation.
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