Nicola BERTASI
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Procida flotte devant Naples, loin des kilomètres de files touristiques de Capri et Sorrento, encore épargnée par le sang de la Camorra. Elle est figée dans une sorte d’immobilisme une temporalité insaisissable. L’île est encore douce et agréable, peut-être parce-que l’air de la mer donne la sensation d’être une petite hirondelle comm’a nu ririniéddo. Il est très important de se sentir ainsi à Procida. (…). Les pêcheurs chantent la mer. A leur manière ils racontent une Italie qui risque le naufrage mais qui se retrouve toujours dans un sourire, dans le filet qui se hisse dans l’obscurité de la nuit, ou bien dans un café, une mélodie qui transporte vers de nouveaux horizons.
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