Olivier PASQUIERS
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Au travers de diverses rencontres, j’ai eu l’occasion de demander aux gens s’ils n’avaient pas un objet, une photographie, une lettre que j’aurais pu photographier pour parler de leur histoire. Parfois cette question s’adressait à ceux qui n’ont plus rien d’autre que leurs poches pour stocker leur histoire. Parfois les poches étaient vides de toutes traces, il ne restait que la mémoire. Parfois il restait le corps, comme un livre ; la peau comme un parchemin où s’inscrivait une histoire.
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