Sanders MOUNY
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Les raisons qui amènent à ce trouver sans domicile fixe sont différentes d’une personne à l’autre. Pour les gens qui n’ont jamais vécu cette expérience il est facile de juger, mais quand on dialogue et quand on passe du temps avec ces personnes qui se trouvent dans la rue on comprend que les souffrances que vivent les autres ne sont pas aussi simples à surmonter, surtout quand on vie dans la misère.
Quand j’ai fait connaissance de Joseph, Robert, Roman, Wojtek, Sibi, Tony et Renée (dit Papy). Certains venaient de Pologne, du Pakistan, de France. A la différence d’autres groupes de sans domicile fixe ou c’est chacun pour soi, ici une très forte solidarité existaient parmi eux. L’argent était mis en commun et les repas préparés ensemble. S’il y a un point commun entre tous c’est l’espoir de pouvoir se sortir de la rue et de retrouver leurs familles restées au pays.
Quand j’ai fait connaissance de Joseph, Robert, Roman, Wojtek, Sibi, Tony et Renée (dit Papy). Certains venaient de Pologne, du Pakistan, de France. A la différence d’autres groupes de sans domicile fixe ou c’est chacun pour soi, ici une très forte solidarité existaient parmi eux. L’argent était mis en commun et les repas préparés ensemble. S’il y a un point commun entre tous c’est l’espoir de pouvoir se sortir de la rue et de retrouver leurs familles restées au pays.
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