Wassim GHOZLANI
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Vingt minutes avant la rupture du jeûne, Tunis commence à se vider de ses passants, elle se débarrasse peu à peu de son éternelle cohue et on la découvre sous un nouveau jour. On respire et on profite du calme qui se propage petit à petit. La ville à l’air désolé paraît différente, peut- être un peu plus large. Un air mélancolique se fait sentir. Quelques voitures pressées passent de temps à autre. Des étudiants africains passent. Des touristes allemands se baladent sans se presser. Un homme se précipite avec un sac de pain et une jeune fille avance tout en tirant derrière elle une valise. Des odeurs de friture et de soupe remplissent l’air.
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