Philippe GABEL
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« Patria libre o morir »
(« Patrie libre ou mourir ») Telle était la devise de A. C. Sandino, le « général des hommes libres » assassiné en 1934 par A.Tacho Somoza, chef de la garde nationale mis en place par les américains.
Sandino avait lutté, sa vie durant, pour refouler les américains hors du Nicaragua.
En 1983, cette devise est toujours d’actualité.
Quatre ans auparavant, le Front sandiniste de libération nationale (FSLN) a évincé A. Somoza Debayle, dernier membre de la dynastie corrompue Somoza.
Le pays se reconstruit, des réformes d’inspiration socialistes sont mises en place.
Opposée à ces résultats, l’Administration Reagan impose alors un embargo sur le pays et arme les Contras, guérilla anti-sandiniste basée aux frontières nord et sud du pays.
Pourtant malgré le blocus économique, la guerre et l’état d’urgence, le petit peuple Nicaraguayen continue à vivre dans la moiteur quotidienne.
C’est ce que montrent ces images de tous les jours.
(« Patrie libre ou mourir ») Telle était la devise de A. C. Sandino, le « général des hommes libres » assassiné en 1934 par A.Tacho Somoza, chef de la garde nationale mis en place par les américains.
Sandino avait lutté, sa vie durant, pour refouler les américains hors du Nicaragua.
En 1983, cette devise est toujours d’actualité.
Quatre ans auparavant, le Front sandiniste de libération nationale (FSLN) a évincé A. Somoza Debayle, dernier membre de la dynastie corrompue Somoza.
Le pays se reconstruit, des réformes d’inspiration socialistes sont mises en place.
Opposée à ces résultats, l’Administration Reagan impose alors un embargo sur le pays et arme les Contras, guérilla anti-sandiniste basée aux frontières nord et sud du pays.
Pourtant malgré le blocus économique, la guerre et l’état d’urgence, le petit peuple Nicaraguayen continue à vivre dans la moiteur quotidienne.
C’est ce que montrent ces images de tous les jours.
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