Philippe TRUQUIN
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Quand l’usine ferme ses portes, les ouvriers perdent leurs mains. Ils abandonnent sur place leurs gants de travail, secondes peaux, comme des mues qui avaient fini par s’imprégner des gestes du travail, de la sueur et de la fatigue. Maintenant, elles se raidissent avec le temps, puis se décomposent. Gros plans sur ces mues retrouvées sur des sites d’usines désaffectées.
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