Wilfried GUYOT
This post is also available in:
Anglais
Durant trois ans, j’ai partagé le quotidien des derniers mânouches semi-nomades de l’hexagone. Survivant d’aides sociales et de petits travaux, ces groupes restreints vivaient les derniers instants d’un mode de vie séculaire. Nous étions en 1999. La misère économique et les politiques de sédentarisation ont depuis, provoqué la disparition de leur mode de vie.
NEWSLETTER
Pour recevoir nos informations, inscrivez votre adresse email.EN SAVOIR PLUS
Pour Que l’Esprit Vive,
Association loi 1901 reconnue d’utilité publique
Siège social
20 rue Lalande,
75014 Paris – France