Thomas FLORENTIN
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Pendant plusieurs mois, je me suis intéressé – ce qui veut dire pas seulement photographiquement – à la lutte acharnée de ce collectif autonome de sans-papiers originaires du Mali, du Sénagal, de la Mauritanie et de la Tunisie.
Acharnée parce qu’il n’y a pas d’autres mots face à ce combat pour la reconnaissance et pour le droit de traviller, de vivre normalement après avoir risqué sa vie pour vivre mieux et offrir à sa famille une certaine décence.
Il s’agit d’une lutte quotidienne, et le dénomination "collectif" prend avec eux toute sa valeur. Solidarité d’hommes qui ont en commun une expérience de migration. L’expérience d’avoir quitté son pays pour tenter autre chose.
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