Estelle FENECH
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En 1954, la défaite française de Diên Biên Phû contraint les familles françaises à un départ précipité. De nombreuses familles issues de couples mixtes, des femmes vietnamiennes et leurs enfants eurasiens sont alors rapatriés au titre de Français d’Indochine et installées de façon « temporaire » dans des bâtiments collectifs désaffectés. L’Etat français les y a oubliés. Plus d’un demi-siècle s’est écoulé et l’un de ces camps existe toujours. Il vit ses dernières heures.
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