Raphael DALLAPORTA
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“Expatriées et non pas réfugiées” comme elles le précisent avec dignité, ces femmes, le plus souvent mariées a des administrateurs ou des militaires français au Vietnam, ont été contraintes par les évènements politiques en Indochine de quitter leurs pays d’origines. A leur arrivée en France, dans les années 50, elles ont été placées, par le gouvernement, avec leurs enfants dans les corons de l’ancienne cité minière de Noyant. Ces femmes aujourd’hui âgées et, pour la pluspart veuves, craignent toujours de revoir leurs pays. Malgré les difficultés d’intégration, elles restent vivre là, seules, dans leurs petites maisons au milieu du Bourbonnais.
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