Frederic GRIMAUD
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Quelle part de vie reste-t-il d’un bâtiment lorsqu’il a perdu une grande partie de son identité ? Souvent considérés comme inesthétiques, ces lieux sont le reflet d’une époque révolue, où l’usure, par le temps et par l’homme, y est ancrée. Tant de personnes ont déployé leurs forces dans l’accomplissement de leur travail quotidien et dans leur combat pour la sauvegarde de leurs emplois qu’ils ont laissé les traces d’un vécu social. Le souvenir nostalgique et la grandeur déchue de ces endroits désaffectés dans lesquels la nature a désormais repris ses droits se sont imposés au photographe.
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