En 1908, August Stauch, un jeune Allemand chargé de l’entretien d’une ligne de chemin de fer, trouve un diamant à même le sable du désert du Namib. Quelques mois plus tard suit une ruée sur le diamant en provenance d’Allemagne et plusieurs villes sont rapidement construites au milieu du désert. Ces villes seront habitées pendant une quarantaine d’années, puis totalement abandonnées.
En présentant les « villes fantômes » d’Olivier Culmann, Chambre à Part se concentre sur le rapport au temps, sur une architecture évolutive, que l’Homme investit aussi rapidement qu’il la désinvestit.    »Ghost cities »

In 1908, August Stauch, a young German in charge of the maintenance of a railway, finds a diamond in the sand of a desert of Namibia.
A few months later a wave of people coming from Germany, built several cities in the middle of the desert and this is how begun the diamond rush. Those cities were inhabited for forty years and are now totally abandoned.
Presenting  » ghost cities  », of Olivier Culmann, the gallery Chambre à Part focuses on the role of time on evolving architecture that men invest and disinvest too easily.    »Ciudades fantasmas » En 1908, Augusto Stauch, un joven alemán encargado del mantenimiento de una línea de ferrocarril, encuentra un diamante en la arena del desierto de Namibia. Unos meses más tarde solamente, una ola masiva de alemanes se lanza en la búsqueda de diamantes y es así como varias ciudades se contsruyen en medio del desierto. Estas ciudades serán habitadas durante cuarenta años y luego dejadas al abandono.
Al presentar  » Ciudades fantasmas  », de Olivier Culmann, la galería Chambre à Part nos muestra un enfoque centrado en la relación efímera con el tiempo, una arquitectura que el hombre se acapara tan rápidamente como la abandona.