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Gabriela Lupu a fouillé les mines de l’ouest de la Roumanie pour dénicher des instants de la vie des hommes qui creusent pour ramener à la surface les trésors de la terre. Ce n’est pas une vie facile, mais les mineurs ont toujours le sourire aux lèvres. Les mines, l’un des secteurs industriels les plus importants à l’époque communiste en Roumanie, ont mal supporté la transition vers le libre marché. La majorité d’entre elles ont été fermées. Celles qui fonctionnent encore s’appuient sur de vieilles technologies, ce qui n’améliore pas la vie des mineurs.
"La photographie est mon point de repère dans la vie. C’est mon point d’accroche. Le bâton sur lequel je m’appuie. C’est une constante. Je photographie de manière impulsive. Je respire à peine. Je suis submergée par l’émotion. Je ne suis pas complètement libre quand je photographie. Je poursuis un but, je me pose des contraintes. Tout m’échappe quand je suis devant une personne à photographier. Je magnifie dans mon esprit mon sujet. Je rencontre un mineur, et vite, c’est le mineur absolu. Je suis incapable de sortir un mot. La photographie est tellement personnelle/ subjective que mes photos invitent à voir à travers mes yeux et mes émotions. Je suis une boule affective. Ma photo est instinctive. J’ai des grands désirs : je souhaite avoir une vue d’ensemble sur mon sujet, comprendre de manière logique, attraper sur la pellicule des émotions, que je voudrais universelles. Mais tout ça m’échappe. Je photographie pour moi d’abord. C’est ensuite que j’essaye de me détacher et parler du sujet traité. J’existe si je fais de la photo ? La photographie est la seule activité qui a de la valeur à mes yeux (en parlant de mes activités). Je suis une naïve".
"La photographie est mon point de repère dans la vie. C’est mon point d’accroche. Le bâton sur lequel je m’appuie. C’est une constante. Je photographie de manière impulsive. Je respire à peine. Je suis submergée par l’émotion. Je ne suis pas complètement libre quand je photographie. Je poursuis un but, je me pose des contraintes. Tout m’échappe quand je suis devant une personne à photographier. Je magnifie dans mon esprit mon sujet. Je rencontre un mineur, et vite, c’est le mineur absolu. Je suis incapable de sortir un mot. La photographie est tellement personnelle/ subjective que mes photos invitent à voir à travers mes yeux et mes émotions. Je suis une boule affective. Ma photo est instinctive. J’ai des grands désirs : je souhaite avoir une vue d’ensemble sur mon sujet, comprendre de manière logique, attraper sur la pellicule des émotions, que je voudrais universelles. Mais tout ça m’échappe. Je photographie pour moi d’abord. C’est ensuite que j’essaye de me détacher et parler du sujet traité. J’existe si je fais de la photo ? La photographie est la seule activité qui a de la valeur à mes yeux (en parlant de mes activités). Je suis une naïve".
Photographies GABRIELA LUPU
Du 01/06/2012 au 31/08/2012
INSTITUT CULTUREL ROUMAIN
Galerie Rue de l'Exposition
1 rue de l’Exposition
75007 Paris
France
Horaires : Lundi-vendredi : 10.00 - 13.00 ; 14.00 - 18.00
Téléphone : 01 47 05 15 31
institut@institut-roumain.org
www.ruedelexposition.fr
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