Le métier d’humanitaire dans un pays en guerre a toujours été un métier dangereux. Depuis le 11 septembre, les choses ont empiré, comme le prouve l’attentat contre le siège des Nations-Unies à Bagdad. Plus que jamais les humanitaires sont délibérément pris pour cible, accusés d’assurer le “service après-vente” des nations occidentales impliquées dans les conflits en cours. Conscient que le drapeau des Nations-Unies ne protège plus des attaques et des attentats, l’ONU met en place des stages de “training”