David SEPEAU
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Il existe dans le désert chilien un camp de concentration oublié de tous, sauf peut-être d’Augusto Pinochet et de Roberto Zaldivar. Son nom : Chacabuco. Des barbelés et une pancarte : «danger champ de mines». L’ancienne carrière de salpêtre de Chacabuco dans le désert d’Atacama a gardé l’aspect du camp de concentration qu’il fut sous Pinochet. Un ex détenu, gardien de camp improvisé, témoigne de ce passé oublié Chacabuco, point invisible sur les cartes fut entre 1973 et 1974 l’un des plus grands camps de prisonniers de la dictature hébergeant jusqu’à 2.500 opposants. Un diaporama accompagné d’une chanson d’Angel Parra est disponible. Cette chanson fait partie de l’album CHACABUCO, enregistré dans le théâtre de la ville en 1973 à l’insu de tous. La plupart des chansons sont interprétées par les prisonniers ainsi qu’Angel Parra, figure notoire de la chanson Chilienne exilé en France par la suite.
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